Extrait:

PARIS (Reuters) - Près de deux mois après le "non" français au référendum sur la Constitution européenne, Dominique de Villepin a affirmé que son gouvernement était "au travail pour dynamiser l'Europe des projets".

Et sinon, comme avenir, plus tard, s'il vous plait, je voudrais bien des nouveaux gens pour nous gouverner. Des hommes qui ne viendraient pas d'une classe politique héritée du productivisme et des 30 glorieuses. Des hommes qui ne seront pas morts quand j'aurais 50 ans. Des hommes qui n'aient encore rien fait de bien ou de mal.

Des hommes qui n'aient pas de passé, parce-que c'est demain que ça craint. Pour hier c'est trop tard. Pour aujourd'hui, on souffre en silence.

On avait un avenir, ça s'appelait l'Europe. C'était une bonne solution pour changer de pays sans bouger de chez soi. A la place, on nous a mis le même pays, mais en plus naze.

Que le dernier qui sorte éteigne la lumière. Et pense à sauver la betterave française face au défi polonais.